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16 juin 2008 1 16 /06 /juin /2008 21:35
Je tiens aujourd'hui Mardi, une permanence de 10h à 12h à la mairie annexe de Bellejouanne (rue de la Jeunesse).
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16 juin 2008 1 16 /06 /juin /2008 21:24


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16 juin 2008 1 16 /06 /juin /2008 07:39
     Week-end chargé, très chargé. Nous sommes parti dès 7h00 du mat’ samedi dernier. Direction Paname avec un road trip déjà programmé. À peine arrivé sur place, direction La Villette pour la convention nationale du parti socialiste. La convention est le lieu de rendez-vous de tous les délégués du parti mandatés par les fédérations pour voter. Cette fois il s’agissait de renouveler la Déclaration de Principe. Peu d’amendements ont été voté, un article à cependant été rajouté pour rappeler que le Parti Socialiste se veut être le parti du rassemblement de toutes les organisations ayant une culture de gauche. Au moment où l’extrême gauche tente de se fédérer il était de bon ton de rappeler nos valeurs. La charte de principe ne joue pas le rôle d’un programme, elle est le plus petit socle commun des socialistes, le texte qui est capable de rassembler de Mélanchon à Rocard ce qui fera dire à certains que le texte est aseptisé et fait dire aux uns ce que parfois les autres combattent. Cependant je trouve le texte plutôt pas mal et je pense qu’il sera de bon ton de le relire lorsque certains camarades oublieront le fondement même de notre combat. Deuxième temps de vote, les statuts. Pour le coup, ils ne convenaient pas à de nombreux camarades et surtout ne répondaient pas du tout aux enjeux d’un parti qui est pour l’instant dans l’opposition, j’ai donc voté contre. L’intérêt double de la journée se trouvait aussi en la prise de parole de nombreux cadres du parti qui permettait à chaque tendances de s’exprimer à travers une multitude de voix. Je retiens les très bonnes prestation de Mélanchon (une fois n’est pas coutume), de l’ami Razzy , d’Harlem Désir, de Gérard Filoche entre autres. Sans vraiment de surprise mais avec un décompte particulier sur le vote des statuts, la déclaration comme les statuts furent adoptés largement.
   


    Dans de nombreuses interventions, le « non » irlandais prenait une large place. Certains s’en félicitaient d’autres le regrettaient mais tous devaient reconnaître la nécessité de changer le texte…Pour ma part je ne suis plus partagé. Je ne me reconnais pas du tout dans le vote Irlandais, très nationaliste, il émane cependant des classes populaires et se sont bien ces mêmes classes qui en France et au Pays-Bas avaient rejeté la constitution. Le fait est donc clair, ça ne passe pas. Comme le professait le film « l’an 01 » réalisé après 1968 je pense qu’il est désormais temps de tout arrêter et de réfléchir. La gauche européenne doit, moins d’un an avant l’élection du Parlement proposer un projet différent, ouvertement social et tâchant de rompre avec l’autisme des dirigeants européens et l’absence de repères pour les peuples européens. Il y aura forcément un nouveau référendum suite à je l’espère un nouveau texte. Il ne se déroulera pas forcément en France et c’est regrettable. Je suis partisan du référendum européen, le même jour dans tous les pays de l’Union Européenne. Enfin ces derniers pourraient se sentir acteur d’une entité qui utilise trop le parlementarisme et ne se rend compte de sa crise que lorsqu’elle s’en remet à ses habitants.
   

    En aucun cas le vote des Irlandais ne doit être pris à la légère, en aucun cas il ne serait être un point d’arrêt, ce n’est qu’un commencement. Le scandale démocratique consisterait aujourd'hui de ratifier dans la douzaine de pays restant le texte.



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16 juin 2008 1 16 /06 /juin /2008 07:28

Beaucoup de Poitevins étaient dans les trains au retour de la capitale hier soir. D'aucun d'entre eux n'avaient une mine aussi déconfite que celle des Roannais (défais de plus de trente points par Nancy). Les Poitevins étaient certes un peu déçus, une défaite c'est toujours dommage. Mais quand même, voir les joueurs que l'on voit un week end sur deux évoluer dans la plus grande salle de France, ça fait chaud au coeur.
Sur le plan sportif, la réussite n'était pas là, il y a eu un peu de mal chance mais il y a surtout eu une équipe Bisontine très en forme et disposant de très bons éléments.
Maintenant, j'attends de voir les transferts et surtout j'espère que les joueurs pourront confirmer leur superbe saison en mettant une nouvelle fois le feu à la maison pro-B.








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14 juin 2008 6 14 /06 /juin /2008 04:31
Je passe le weekend sur Paname, comme pas mal de temps la semaine prochaine d'ailleurs. Samedi, c'est la convention nationale du PS. J'ai été, avec d'autres camarades, mandaté pour déposer des amendemens sur la Déclaration de Principe. Le texte me convient plutôt, il ne s'agit bien évidemment pas d'un programme mais d'un texte rassembleur, pas assez large pour être mou, pas assez stricte pour être sectaire. Un texte de gauche qu'il faudra faire lire à pas mal de nos dirigeants régulièrement s'ils reviennent au pouvoir.


Dimanche, je reste à Paris pour suivre la finale de ProA et surtout de ProB en Basket. Poitiers s'est brillament qualifié contre Nanterre et Bourg, les joueurs devront maintenant concrétiser leur superbe saison dans une salle magique, Bercy. Plus de mille poitevins seront de la partie, espérons que cela poussera notre équipe.
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11 juin 2008 3 11 /06 /juin /2008 12:02
Première Rencontre des bloggers poitevins.



Hier soir, alors que les rues étaient désertes à cause d’un orage plutôt balèze, une petite vingtaine de personnes se sont réunies au Cosy Lounge, bar tendance nouvelle créé boulevard de Solférino.
Toutes les personnes présentes ou presque ont en commun d’habiter Poitiers et de tenir un blog. Il n’est plus aujourd’hui question de définir le blog tant ce mode de diffusion virtuelle est entré dans le quotidien des français. Que l’on y parle de son quotidien, de son travail, de cuisine ou de politique, le blog est devenu indispensable à la toile française.
Sur Poitiers, la blogosphère est très longtemps restée anonyme. Beaucoup de blogs ne vivent plus certains n’ont duré que quelques semaines, parfois quelques jours. Cependant, depuis les municipales ce réseau semble s’être structuré, il a fait l’objet de plusieurs articles ou émissions dans la presse locale. La focale de départ était la politique, elle a fini par s’étendre au reste du troupeau, bien plus large, bien plus ouvert, sûrement plus intéressant pour le commun des mortels. Ainsi plusieurs rencontres s’étaient déjà faites, sous l’égide notamment du love-money café. Plutôt marquées politiquement, ces rencontres ne rassemblaient que les aficionados de la politique locale tenant place sur le web. Cela avait permis à certains de mettre un visage, une voix aussi sur une page internet qui parfois était dénuée de toute personnalité.
Depuis les choses ont évolué, des blogs sont apparus (Vianney, Claire Deschamp, la pagaille de Poitiers, le clan Hiernard s’est développé…), certains ont semble-t-il aussi mis la clef sous la porte : kill and bill, Lapin centriste, Johan ayant changé de parti au cours de l’année à changé de plate-forme… Bref ce petit monde bouge. Il était donc temps de se poser autour d’un verre, sur un fond autre que celui d’une campagne politique. A l’initiative de Brigitte Barronnet (que j’ai découvert blogueuse), nous avons donc échangé pendant plus d’une heure.
Les débats furent nombreux : faut-il modérer les commentaires, peut-on tout dire, comment protéger son intimité, quel avenir pour le blogger, appui ou inconvénient lors d’une embauche, comment tenir sur la durée… Nos logorrhées se sont largement répandues au-delà de l’horaire initial, je suis pour ma part parti vers 22h00.
Je trouve que l’initiative est à reproduire, mais je suis partisan d’une autre formule. Peut être à la manière du coach-surfing (lire le dernier bouge pour comprendre), nous pourrions prendre ces apéros chez les uns et les autres, je suis entièrement disposé à recevoir des bloggers dans mon appart le temps d’une soirée débat (moi en plus, j’ai le wi-fi…).

Évoqué lors des échanges, la presse, à la fois comme lectrice de nos blogs mais aussi comme source d’inspiration de nos articles. C’est marrant mais aujourd’hui dans l’article de la NR je suis présenté comme un candidat aux cantonales ayant créé son blog peut avant l’élection…

 
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11 juin 2008 3 11 /06 /juin /2008 11:46
En guise de verbatim, je vous livre aujourd'hui en résumé ce que j'ai pu rétenir d'un séminaire de "prospective" organisé par Yves Jean dans le cadre de sa délégation. Pendant une journée différents témoins (universitaires, experts, syndicalistes, élus et chef d'entreprises) se sont relayé devant des élus et des agents de la collectivité pour nous présenter ce que sera ou ce que devrait être l'économie locale de demain et surtout quelle place devrait jouer les collectivités.

Développement économique local

Olivier, Bouba-Olga,

1. Pour mettre en place une action de politique économique, il faut la resituer dans un cadre global.

Avoir un niveau de vie élevé pour les habitants, s’assurer de sa croissance, le connaître pour mieux l’améliorer. (il s’agit d’établir un indicateur de revenu par habitant).
La base du « bonheur » économique du citoyen, condition de travail, temps de travail, espérance de vie, sont autant d’indicateur permettant de connaître un territoire, ils sont autrement plus complémentaires que le seul PIB.

Le suivi de ces indicateurs permet de cibler l’action en fonction des résultats obtenus. Cela permet aussi d’évaluer les politiques publiques.

2. Les logiques du développement économique local.

Pour créer des richesses, la base résidentielle est plus importante que la production marchande. À Poitiers, les logiques dominantes sont justement résidentielle ou sociale.

Pour l’économie résidentielle, l’impact de la CAP et du CHU (en tant qu’employeurs) est très important, les revenus injectés sur le territoire cumulé au poids salarial font que l’on arrive à 500 millions d’euros par an soit 5x plus que le Futuroscope.

Il faut systématiser ces calculs, ces évaluations pour indexer les actions publiques, en faire bénéficier les PME.

3. Attirer les créatifs.

Attirer les créateurs de richesse ? Ce n’est peut-être pas le plus important, ainsi la majorité des « créatifs » sont nés ou ont fait leurs études dans la ville de leur entreprise à hauteur de 80% en moyenne en Europe. Nous n’avons pas de résultat sur Poitiers. L’inertie des « cadres » s’explique par la volonté de se construire dans un environnement connu.
Il est ainsi plus facile de faire rester les créatifs sur un territoire que d’essayer de les attirer.

4. L’impératif d’innovation.

∑ Discours dominant : favoriser l’innovation technologique de hautes technologies, nano, pharma, aéro…
∑ Il ne faut cependant pas oublier les autres formes d’innovations notamment les organisations des PME…
∑ Tous les autres secteurs économiques ont des hautes technologies.
∑ Eviter le cloisonnement économique pour les zones plutôt pauvres comme le Poitou-Charentes.

Le lien entre l’université de Poitiers et les entreprises locales est proportionnellement le second plus important du pays (derrière Paris) avec près de 250 contrats par an. Le mythe de l’université renfermée sur elle même n’est donc pas une réalité.


L’enchaînement à retenir : objectifs => stratégies => moyens de la stratégie. Le tout dans un cadre local d’analyse, de manière perpétuelle, et ce en partenariat avec les recherches notamment en sciences-sociales.

Dominique Royoux

« Portrait de territoire ». L’agglomération de Poitiers (30km autour de Poitiers) c’est 100000 emplois, 70000 sur la CAP. Une augmentation de 11% d’emplois sur les dix dernières années surtout dans le domaine des services et du commerce s’est fait sentir. Elle est polarisée sur la CAP.
3/4 des établissements ont moins de 10 salariés, cela implique un développement des partenariats et un appui organisationnel.
50% des fonctionnaires sont sous l’égide de l’état, 25% pour le CHU, 25% pour les collectivités locales.

Le basin d’emploi de Poitiers est plutôt pauvre, 2/3 des emplois sont occupés par des employés et des ouvriers. La place de l’emploi partiel est très importante, surtout pour les femmes. Pour les jeunes, la situation est comparable à ce que l’on trouve dans la région.

Les points fort de la CAP sont les compétences en matière de transport et de mobilité, les biotechnologies, le numérique, le pôle logistique du grand-ouest, le pôle d’éco-industrie du Poitou-Charentes, l’émergence du pôle des sciences de l’ingénieur et l’ingénierie de la connaissance, le pôle des savoirs.
Ces pôles s’appuient largement sur l’Université de Poitiers. Les effectifs en master et en doctorat sont en augmentation (à l’inverse des licences).   

La place des employeurs

La CAP fut l’un des territoires les plus créatifs en terme de groupement d’employeur.

- Le statut du salarié est de plus en plus précaire. Ainsi le taux de chômage ne veut plus rien dire (un temps partiel n’est plus chômeur sans pour autant pouvoir vivre sainement). L’indicateur de l’emploi est né avec le CDI, aujourd’hui presque disparu il faut trouver un nouvel indicateur notamment autour du bonheur.

- On passe d’une mobilité verticale au sein de l’entreprise (ouvrier à cadre par exemple), à une mobilité horizontale au sein de différents employeurs, cela remet donc en cause la notion de « carrière ».

- L’insertion ne se fait plus uniquement par l’emploi, le prix de l’essence devient ainsi profondément marquant dans le salaire d’un employé, on regarde son emploi par rapport au pouvoir d’achat.

- Au début du siècle, on avait 500000h de vie dont 100000 heures de loisirs. Aujourd’hui nous avons 700000h avec 300000h de temps libre. Cela change le quotidien, le rapport au travail, le rapport au loisir.

- Les politiques d’emplois sont très complexes, elles s’enchevêtrent, se cumulent…tout est à repenser.

- On bascule d’une économie d’industrie à une économie de haute technologie. C’est la fin de la société industrielle.

- Le renouvellement des actifs va poser question avec la disparition des baby-boomers du marché de l’emploi.

- L’emploi va devenir la question majeure du futur, des concurrences fortes entre les territoires pour répondre aux demandes d’emplois vont se mettre en place, Poitiers devra relever le défi.

Les relations entre les employeurs et les opérateurs sont éphémères et superficielles. Ainsi nombre d’entreprises ont du mal à répondre à l’offre proposée.
Les besoins des employeurs ne sont pas connus par les organismes publics. Il y a un manque dans l’accompagnement du nouveau salarié, comme de l’entreprise qui va employer. Ainsi le manque d’anticipation des conjonctures de l’emploi nuisent au développement de ce dernier. Demain c’est peut-être plus l’accompagnement de l’entreprise que de l’employé qui va prévaloir. Après avoir maltraitée l’emploi, les entreprises se retrouvent un peu paumées et n’arrivent plus à déterminer une ligne directrice, il faut rétablir le liens entre les décideurs publics et les entreprises.
Il faut décloisonner les opérateurs en prenant compte de la demande d’accompagnement des employeurs.

James Renaud, Quelle articulation entre emploi local et politique de formation ?

Certains secteurs d’emplois vont prochainement bouleverser leur bassin d’emploi.

Les enjeux : le plus important est le changement de la main d’œuvre des entreprises. C’est la première fois depuis 30 ans que cette évolution se fait sentir dans tous les secteurs d’activité. Le bassin d’emploi de Poitiers réclament 4500 personnes, 63% des chefs d’entreprises pensent que le recrutement va être difficile. Autre enjeu, tout aussi fort, le développement de la précarité. L’organisation sociale dans le travail à complètement changée, le passage par la précarité est devenu presque obligatoire même si le regarde les personnes très qualifiées.
L’organisation par des groupements d’employeurs peut être une solution pour mettre autour d’une table les différents acteurs économiques.

Dans les prochaines années, les collectivités locales vont devoir se saisir de la « problématique chômage ». C’est une réelle opportunité à saisir. 4 millions de personnes ont changé d’emploi en 2007, seul 1 million l’a fait grâce à l’ANPE.

La veille et la prospective devront être au cœur de l’analyse qui viendra. En parallèle de ces recherches, il faut redescendre dans les entreprises pour toucher au réel.

Catherine Coutelle, retour sur la politique économique communautaire.

La taxe professionnelle unique. La TPU fut l’élément moteur de la cohésion de la CAP. La spécialisation du territoire avec de grandes zones économiques dédiées. La CAP est ainsi devenu un acteur économique de plein droit. La présence sur le terrain a permis de répondre à des attentes qui n’étaient pas prévues. Le travail avec les entreprises à commencer par un côté pratique : aménagement des zones, éclairage public, signalétique… Après cela, une fois la confiance établie, les collectivités ont pu intervenir, sur l’emploi, la formation, l’économie.
Les relations sont à continuer, à améliorer. Il y a aujourd’hui trois associations d’entreprises, CAP au sud, temps modernes et Portes du Futur.
L’université de Poitiers contrairement à l’idée reçue est très ouverte sur l’entreprise. Problème,les formations ne sont peut-être pas assez complètes (ex : le niveau d’Anglais des Poitevins…) ou en adéquation avec ce que recherche les entreprises.  
La CAP a peut-être été un peu frileuse sur les aides aux entreprises. La CAP n’en a peut-être pas les moyens, c’est pour cela que l’Agence des Temps peut entrer en action, en conciliant emploi, vie de l’entreprise et vie familiale (sans compter les loisirs) on peut présenter aux employeurs un niveau de vie de leurs salariés à même de compenser les manques dus à la petite taille de l’agglomération.

L’importance de l’informel entre les élus et les employeurs, l’importance de l’innovation perpétuelle, celui de la formation. Il faut savoir mettre en avant au travers de réunions la qualité de vie des salariés devant les employeurs ?

Didier Moreau – industrie de la connaissance.

Exigence des savoirs, mise en place d’un conseil scientifique et culturelle, innovation scientifique, niveau des équipements, tels sont les méthodes pour mettre en place des centres de la connaissance.
Sous forme d’une volonté de vulgariser la science, on permet aussi de développer la formation continue.                               
L’industrie de la connaissance avec des liens entre l’université, le cndp, le cned, le pres… est l’une des richesses de la ville.

La performance globale de l’entreprise : Economique, social, écologique et sociétal.

o Projette dans l’avenir et bâti les stratégies.
o Fait participer les salariés à sa construction et à ses processus de décision.
o La DRH devient un domaine stratégique.
o Développe le dialogue entre les différentes parties.
o Fonde ses relations client sur une éthique et durable.
o Mettre l’innovation au cœur de sa stratégie.
o Respecte son environnement.
o Préoccupation de la société civile.





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10 juin 2008 2 10 /06 /juin /2008 20:46
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9 juin 2008 1 09 /06 /juin /2008 17:59
A l'initiative de Brigitte Baronnet journaliste à Bouge et Pulsar, les bloggers plus tous ceux qui le veulent sont invités à débattre autour d'un verre le mardi 10 juin à 19h00 au Cosy. Le Cosy Lounge c'est un nouveau bar (à la place d'un panneau recherché lors des campagnes politiques) au milieu du boulevard de Solférino. Ce sera là l'occasion de trancher pas mal de discussion que les commentaires postés sur les blogs ne peuvent épuiser.

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9 juin 2008 1 09 /06 /juin /2008 06:19


Poitiers, Hôtel de Ville, promenade musclée en marge de la fête du vélo. Pour ma part, ayant les plateaux de mon vtt cassés je me suis rabattu sur mes rollers pour un session de hockey place d'arme, biel sympa d'ailleurs.
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